Questions de victimes Infection nosocomiale

Pour toutes vos questions l’Association AIVF est là pour vous répondre du Lundi au Vendredi de 9h00 à 18h00

Permanence : posez votre question via la rubrique “Contact”.  Réponse dans la journée.

Sécurité routière et aide aux victimes. Cliquez sur la photo

Profitez d’un rendez-vous offert gratuitement par un avocat signataire des chartes de l’AIVF

NB : ce service est également proposé, pour les victimes qui le souhaitent, en Visio Conférence

Cliquez sur la photo

Victimes infection nosocomiale

Vous vous posez des questions pour l’indemnisation d’une infection nosocomiale. Nous mettons à votre disposition les questions les plus souvent posées à l’Association d’aide aux victimes. Si vous ne trouvez pas réponse à votre question, vous êtes invités à joindre l’association pendant les heures de permanence.

La victime d'une infection nosocomiale a le droit d'être indemnisée

Retenir : 
La victime d'une infection nosocomiale a le droit
 d'être indemnisée de toutes les conséquences
 de l'infection. Elle doit déposer un dossier à la CRCI.

Questions infection nosocomiale indemnisation

Question concernant une infection nosocomiale

J’aimerais savoir quelles sont les démarches à entreprendre pour faire valoir les droits de ma mère victime de négligences et erreur de diagnostic à la clinique. En 1 mois d’hospitalisation, elle aura subi l’atteinte du nerf sciatique, 3 luxations, une nouvelle intervention avec changement total de la prothèse. À cela s’ajoute une escarre sacre, matelas à air, pose a posteriori, et pour finir une infection nosocomiale sur la prothèse. Que devons nous faire pour faire remonter notre profonde colère, cette infection nosocomiale étant le comble !

Réponse de l’avocat

Je comprends votre colère et votre indignation face à la situation de votre mère. Je vous propose de saisir la CRCI (Commission de Relation avec les Usagers et de Qualité de la Prise en Charge) avec vous. La CRCI est une instance indépendante qui peut vous aider à obtenir réparation des préjudices de votre mère. Je vous contacte rapidement pour convenir d’un rendez-vous afin d’examiner votre dossier et de vous expliquer les démarches à suivre.

Infection nosocomiale – Infection nosocomiale à staphylocoque doré

J’ai été opérée au chu pour une exclusion de l’oreille. Suite à cette intervention, j’ai contracté une infection nosocomiale. Il s’agissait d’une mastoïdite m’obligeant à me refaire opérer en urgence 6 jours après en urgence. Depuis les bactéries étant encore présentes, les greffes se sont nécrosée. Les chirurgiens ne me prennent pas en charge. Je vais devoir tout refaire, mais tant que l’infection n’est pas éradiquée, c’est impossible. En attendant, je souffre de l’infection nosocomiale et risque la méningite.

Réponse avocat

Infection nosocomiale à staphylocoque doré – Accompagnement à la CRCI : J’ai pris connaissance avec attention de votre situation concernant l’infection nosocomiale à staphylocoque doré que vous avez contractée au CHU après une intervention chirurgicale. Je vous propose de vous accompagner à la CRCI (Commission de Relation avec les Usagers et de Qualité de la Prise en Charge) pour vous aider à faire valoir vos droits et obtenir réparation des préjudices que vous avez subis.

La CRCI est une instance indépendante qui peut:

  • Vous aider à obtenir des informations sur votre dossier médical
  • Vous assister dans vos démarches
  • Rechercher une solution amiable avec le CHU
  • Formuler un avis sur votre situation

Voici ce que je peux faire pour vous:

  • Je vous aiderai à rédiger le formulaire de saisine de la CRCI
  • Je rassemblerai les pièces justificatives nécessaires
  • Je vous accompagnerai à l’audition devant la CRCI
  • Je vous assisterai dans les démarches ultérieures

Je suis convaincu que la CRCI peut vous aider à obtenir une juste réparation. N’hésitez pas à me contacter si vous avez des questions ou si vous souhaitez convenir d’un rendez-vous.

Victime infection nosocomiale

J’ai été Victime d’une infection nosocomiale. Je me pose des questions sur Staphylocoque epidermis, CRCI. Opéré d’une hernie discale qui a mal tourné, puisque j’ai eu un spondilodiscite et un staphylocoque epidermis , je souffre encore énormément aujourd’hui et en plus, je garde un affreux souvenir de mon séjour à l’hôpital. À ce jour, j’ai ouvert un dossier au CRCI, j’ai eu des rdv avec les experts, j’ai respecté les délais afin de fournir autant de document que j’ai pu réunir. L’hôpital ne respecte pas les délais, n’a toujours pas fourni les éléments manquants comme : le protocole HAS. Ils ont passé les délais notifiés par le CRCI mais le CRCI me dit ne pas prendre en compte la date qu’ils ont eue même donné à l’hôpital. Je me sens complètement à bout de cette histoire. Aujourd’hui, j’ai perdu toutes mes économies, je risque de perdre la location de mon appartement. Ne pouvant pas tenir physiquement en CDI (j’ai perdu 2 emplois !), j’ai dû me mettre à mon compte, mais comment arriver à me soigner dans de telle condition ? J’ai eu une reconnaissance MDPH et invalidité, mais je n’ai pas le sentiment ni d’être accompagnée, ni écoutée. Je n’ai pas de responsabilité civique pour prendre un avocat.

Victime infection nosocomiale : dossier indemnisation

Mon mari a été Victime d’une infection nosocomiale et se pose des questions sur un dossier d’indemnisation. Mon mari subit une opération abdominale en vue de retirer une tumeur. Cette opération génère une infection nosocomiale abdominale suite aux sutures faites. L’infection nosocomiale détectée par la clinique dès le vendredi n’a été prise en compte que le lundi. Les pansements suppuraient et il y avait une odeur pestilentielle dans la chambre. Malgré cela, nous avons dû attendre le lundi pour qu’un chirurgien vienne voir mon mari et lui dise qu’il allait être réopéré en urgence dans l’après-midi. Il est réhospitalisé à la clinique, car les analyses sanguines sont extrêmement mauvaises. Il rejoint notre domicile dans le cadre d’une hospitalisation à domicile. Une infection nosocomiale apparait sur la cicatrice abdominale. Nous avons consulté un chirurgien qui a confirmé qu’une nouvelle opération sera nécessaire afin de poser un « filet  » pour maintenir les organes. Il a, depuis la remise en continuité, en fonction de son alimentation, un transit plus ou moins normal (diarrhée). Pouvez-vous me conseiller quant au dossier d’indemnisation à constituer.

Remarques de l’Association sur une victime d’accident de la route : indemnisation de l’infection nosocomiale

Vous avez été victime d’une infection nosocomiale et vous vous posez des questions sur l’indemnisation de l’infection nosocomiale. Nous vous invitons à prendre connaissance de la rubrique se faire indemniser d’une infection nosocomiale (ONIAM)Sinon, pour bien vous défendre, nous vous invitions à lire attentivement les rubriques :
– Les postes de préjudices
– Le rôle du médecin expert
Si vous avez besoin de vous faire défendre, nous vous invitons pour le médecin expert de consulter la liste des médecins experts et pour l’avocat à nous en faire la demande par email. Si vous souhaitez davantage de renseignements, laissez nous vos coordonnées téléphoniques pour que nous puissions parler de votre accident médical sur l’indemnisation suite à une infection nosocomiale. C’est la loi Kouchner qui prévoit l’indemnisation. L’oniam peut aussi intervenir pour l’indemnisation. Le dossier peut se constituer en s’adressant à la CRCI ou CCI ( Commission de conciliation et d’indemnisation ).

Pertinence ou non d’une CRCI

Je me permets de vous contacter suite à une perte inattendue dans des circonstances dramatiques, en milieu hospitalier (public). La CRCI vise si je l’ai bien compris à obtenir un avis sur une situation médicale. Dans l’hypothèse où il s’agit pour moi de comprendre l’enchaînement qui s’est produit à l’hôpital et d’évaluer les éventuelles fautes ou erreurs médicales commises, pensez-vous qu’il soit indispensable ou du moins judicieux de passer par la CRCI avant toute démarche juridictionnelle ?

Question de Victime, erreur médicale : Prothèse hanche, infection nosocomiale

Mon époux a été Victime d’une infection nosocomiale. Je me pose des questions sur Prothèse hanche, infection nosocomiale. Mon époux a été victime d’un accident de la circulation, suite à ça il a eu une prothèse de hanche et pour finir, il a contracté une infection nosocomiale. Donc il a subi une ablation de sa prothèse et il est toujours dans l’attente d’une nouvelle prothèse. Cette situation nous a beaucoup touché sur plusieurs plans : tout d’abord financier, car il était commerçant et de ce fait, nous avons été obligés de faire un dépôt de bilan et nous sommes aujourd’hui en surendettement. Nous avons vu plusieurs avocats et malheureusement les indemnités ont été très rares, nous avons perdu plus d’argent pour nous défendre que ce que nous en avons gagné. Il a été aussi rejeté de l’accident de travail pendant plusieurs années, aujourd’hui, il est de nouveau sous le régime de l’AT, car nous sommes enfin arrivés à prouver qu’il avait contracté une infection nosocomiale (cela a mis plus de 2 ans). Chaque fois que nous essayons de nous tourner vers un avocat ou un médecin, la porte nous est systématiquement fermée, les délais sont dépassés et sur le plan médical, nous avons le sentiment que personne ne nous dit réellement ce qu’il en est. Je me permets de vous contacter, car nous ne trouvons pas d’avocat qui pourrait nous défendre sérieusement sans que l’on soit obligé d’avancer les frais de procédure et il nous est impossible aussi de trouver un médecin qui nous explique avec franchise et honnêteté les causes et les conséquences. Nous habitons une petite commune des Hautes-Alpes et même au niveau des transports, nous ne sommes jamais remboursés, car les soins de mon époux se passent sur Marseille et la sécu ne veut rien entendre, la réponse qui nous a été donnée, c’est qu’il pouvait se faire soigner dans son département. Mon mari a rendez-vous mardi avec son chirurgien, mais il ne peut pas être transporté assis et on ne lui accorde pas le trajet en ambulance, il ne pourra donc pas rencontrer son docteur en vue d’une nouvelle prothèse. Mon époux est également en grande dépression et n’arrive plus à affronter tous ces problèmes… Pouvez-vous nous donner les coordonnées de personnes sérieuses qui pourraient nous renseigner sur toutes ces différentes procédures pour que l’on puisse savoir ce que nous pouvons attendre ou pas. Cela nous permettrait de pouvoir avancer et d’alléger nos batailles incessantes. De plus, nous avons 3 enfants à charge, le plus jeune a seulement 4 ans et souffre énormément de cette situation.

Question de Victime erreur médicale : accident de la route, staphylocoque capitis

J’ai été Victime d’une infection nosocomiale. Je me pose des questions sur accident de la route, staphylocoque capitis . Indemnisation suite à contraction d’un staphylocoque capitis . Suite à un accident de la route, j’ai subi plusieurs interventions (dos et jambe) au CHU. Durant ma convalescence au CRFC, j’ai commencé à ressentir des douleurs à la jambe. Je m’étais plaint de ces douleurs, mais on m’avait dit que c’était normal après ce genre d’opération. Malheureusement, ma jambe a triplé de volume, les sutures se sont ouvertes et la cicatrice a saigné. J’ai ensuite contracté une forte fièvre. On m’a alors transféré d’urgence à l’hôpital Civil. Le diagnostic était qu’un staphylocoque  capitis  avait rongé l’artère fémorale droite de ma jambe. Ils ont pu sauver ma jambe de lamputation en effectuant un double pontage artérielle. Suite à quoi j’ai pris des antibiotiques pendant plusieurs mois. Une fois mon traitement fini, le médecin m’a dit que tout était bon, que je n’avais plus à m’en faire. Cependant, début d’année dernière est apparu une boule sur ma cuisse à l’endroit de la cicatrice, après avoir fait des échos, des radiographies et des ponctions, on m’annonce que c’est le staphylocoque capitis  qui était dans mon os, là où le matériel maintenait mes os brisés, qui s’était réveillé. Ne comprenant pas, j’ai demandé des explications. On m’a expliqué que le staphylocoque était toujours en moi et qu’il était juste endormi, ce qu’on ne m’avait pas dit auparavant. On m’a aussi expliqué que ce staphylocoque nommé capitis aimait se loger avec le matériel médical, et vu que j’en ai également dans le dos, je suis extrêmement inquiet. Ils m’ont opéré la jambe, ils ont enlevé le matériel et nettoyé intégralement la jambe et l’intérieur de l’os. Après mon opération, je n’ai vu aucun chirurgien. Ils m’ont renvoyé chez moi 5j ours après cette grosse intervention. J’ai eu beaucoup de mal à me remettre, plusieurs mois ont été nécessaire pour que je puisse remarcher correctement et des douleurs persistent. Aujourd’hui, je me pose des questions sur ma santé, je crains pour l’avenir.

Question de Victime erreur médicale : Staphylocoque epidermis, CRCI

Suite à une hystérectomie totale, j’ai contracté une infection nosocomiale : E. Coli, Enterococcus Faecium, Bactéroïdes, Fragilis, Prevotella Beva. Lors de l’opération, j’ai perdu beaucoup de sang d’où un hématome important sans pose de drain ni de lame vaginale ; hémoglobine à 8,4 pas de transfusion. Hospitalisation pour soigner l’infection, hémoglobine à 7,5. Hospitalisation en urgence, et le  je suis opérée d’une pelvipéritonite avec encore beaucoup de saignement, pose d’un redon et d’une lame vaginale.  Hémoglobine à 6,4 et transfusion. Encore infection nosocomiale près du foie et toujours des problèmes digestifs. J’ai repris mon travail avec beaucoup de fatigue et de problèmes digestifs. Depuis, les problèmes digestifs (estomac, foie) persistent, mais nettement moins douloureux. Le chirurgien qui m’a opérée, et son confrère gastro-enterologue, parlent de psychosomatique… J’ai consulté un obstétricien en chu qui diagnostique des adhérences, jamais évoquées précédemment. Aujourd’hui, je souhaite déclarer cette infection nosocomiale, faire reconnaître les adhérences afin de les traiter ou les soulager. Et j’aimerais également obtenir lavis d’un expert médical dans le but de savoir s’il y a eu négligence dans le suivi médical.
.

Réponse, infection nosocomiale et indemnisation

C’est la loi Kouchner qui prévoit l’indemnisation. L’oniam peut aussi intervenir pour l’indemnisation. Le dossier peut se constituer en s’adressant à la CRCI ou CCI ( Commission de conciliation et d’indemnisation ).
.

Question de Victime, erreur médicale : Membrane EPI rétinienne, infection nosocomiale

Ma mère a été Victime d’une infection nosocomiale. Je me pose des questions sur Membrane EPI rétinienne, infection nosocomiale. Je vous sollicite afin de vous exposer une situation et que vous puissiez me guider sur la procédure à suivre. Ma maman a subi une intervention chirurgicale « Pelage de membrane EPI rétinienne » en ambulatoire au sein d’une clinique. Elle est rentrée chez elle. Le lendemain soir, elle a senti une gêne, et l’œil s’est mis à larmoyer. Le lendemain matin, elle a pris contact avec la clinique pour signaler cela et un gonflement important de l’œil. Nous avons consulté l’ophtalmo d’astreinte lequel la rediriger immédiatement vers les urgences ophtalmo. Du CHU. Il s’en est ensuivi une hospitalisation avec traitement important, prélèvement et une nouvelle chirurgie (endophtalmie). Le diagnostic semblerait être une infection nosocomiale (nous sommes en attente des résultats des prélèvements). Aujourd’hui, nous ne sommes pas sûrs qu’elle puisse récupérer de la vision et les tests fait hier soir montrent qu’elle a zéro dixième. Nous souhaitons demander à la clinique de nous communiquer le dossier médical et envisageons une procédure. Afin de ne pas commettre d’erreur, je vous serai reconnaissant de me guider sur la manière dont nous devons procéder. Je précise que le chirurgien qui l’a opéré en clinique nous a indiqué qu’il avait eu un cas similaire en décembre et demander de son côté à ce que la clinique trouve les causes de ces infections. Enfin, il paraîtrait que le CHU a eu un autre cas mi-janvier d’une personne infectée lors d’une opération dans cette même clinique.

Question de Victime, erreur médicale : Infections nosocomiales, décès

Ma grand-mère a été Victime d’une infection nosocomiale. Je me pose des questions sur Infections nosocomiales, décès. À la suite d’une chute et fracture du col du fémur, ma grand-mère de 89 ans, alors en bonne santé, a été admise aux urgences d’un CH et y a contracté 2 infections nosocomiales. Nous l’avons fait transférer dans un hôpital privé où elle y est décédée des suites d’une des infections (pulmonaire). À cet effet, je souhaiterais connaitre la procédure afin d’engager une procédure amiable dans un premier temps.

Pneumopathie nosocomiale entrainant le décès inattendu, incompréhensible et intolérable.

Je me permets de vous contacter afin de m’aider dans mes démarches entreprises suite au décès de mon époux suite à l’opération d’un anévrisme aortique abdominal à la clinique en chirurgie vasculaire. Le préopératoire : analyses de sang, radiologie pulmonaire, électrocardiogramme étaient normaux et rien ne s’opposait à l’anesthésie générale et à l’intervention chirurgicale. L’opération exercée a été un succès et la pose de la prothèse au niveau de l’aorte a été réussie, ceci a nécessité 4h d’intervention. Lors de l’opération, il aurait contracté une infection pulmonaire dont le germe en cause a été identifié tardivement et que durant toute la semaine qui s’est écoulée, mon mari souffrait de cette détresse respiratoire qui ne désamplifiait pas alors que, venue au chevet de mon mari, j’avais signalé, mais en vain, au personnel soignant sa grosse difficulté à respirer et que lui aussi se plaignait de sa respiration qui l’éprouvait et qui le fatiguait. La première antibiothérapie mise en place ne montrait aucun effet bénéfique (germe résistant), alors que la seconde antibiothérapie semblait avoir un début d’enrayement de cette infection, mais sa mise en place était trop tard, 6 jours après l’intervention, ce qui est inconvenable de laisser perdre du temps et de laisser mon mari souffrir. Le facteur « temps » était un élément essentiel pour permettre le maximum de chance de guérison, or, il s’avère qu’il y a eu négligence dans la réactivité de la prise en charge de cette infection. On aurait perdu facilement 48h précieuses qui auraient positivement changé le cours des choses actuelles. Hier, j’ai rencontré à ma demande le chirurgien et le chef réanimateur du service Réanimation et soins continus et en présence de ma fille. Suite à cet entretien, il a été reconnu que cette infection contractée était nosocomiale, et que cette dernière n’a pas été prise en charge dans les temps et à continuer à progresser en provoquant l’inflammation des tissus. Le même jour, nous avions rencontré le docteur de l’information médicale afin d’avoir accès au dossier médical de mon mari dans sa totalité (radiologie du séjour, analyses de sang, bactériologie, prescriptions, etc.) car plusieurs analyses et radiologies nous ont été cachées lors de nos premières demandes de documents. Suite à ces RDV avec les médecins, je m’oriente vers vous, l’association d’aide et Indemnisations aux victimes de France, afin qu’il y est préjudice moral et financier suite à cette négligence de réactivité qui a conduit au décès de mon époux. Au nom de la mémoire de mon époux et à toutes les souffrances qu’il a endurées par cette négligence, je viens vers vous pour élucider ce drame.

Question de Victime, erreur médicale : Crci, Oniam, infection nosocomiale, staphylocoque doré

J’ai été Victime d’une infection nosocomiale. Je me pose des questions sur Crci, Oniam, infection nosocomiale, staphylocoque doré. À l’occasion de l’opération d’une prothèse de hanche gauche à la clinique de la Loire à Saumur, j’ai contracté une infection nosocomiale à staphylocoque doré. J’ai dû être réopéré en urgence avec 40 de fièvre sans changement de prothèse puis s’ensuivent 15 jours d’antibiothérapie sur cathéter central et trois mois et demi d’une double antibiothérapie par os, des douleurs neuropathiques sévères traitées, plaie ouverte pendant 2 mois et demi. 8 mois d’arrêt de travail, reprise à la mi-temps thérapeutique durant trois mois puis à temps plein. Asthénie très marquée depuis et depuis quelques semaines beaucoup moins de mobilité et de nouveau quelques douleurs. Psychiquement très affectée durant tous ces mois d’arrêt maladie même après. Je souhaite savoir quelles démarches entamer pour un éventuel recours face à cette infection nosocomiale en théorie déclarée par le chirurgien à la caisse d’assurance maladie. J’ai entendu parler de la CRCI commission d’indemnisation des victimes d’infection nosocomiale et de l’ONIAM. Pouvez-vous m’expliquer ?