Indemnisation souffrances endurées 2/7 ou prétium doloris explications
Essentiel à retenir
Qualification des Souffrances à 2/7 : Les souffrances endurées classées à 2/7 sont considérées comme « légères » selon le barème, mais cela ne signifie pas que la douleur ressentie par la victime est minime. Cette catégorisation sert à établir un niveau de souffrance dans un cadre comparatif et concerne uniquement la période allant de l’accident à la consolidation.
Exemples de Cas : Les situations qualifiées de prétium doloris à 2/7 peuvent inclure un traumatisme cranio-cervical avec une courte perte de connaissance, la suture d’une plaie du cuir chevelu, une hospitalisation de courte durée, ou des douleurs cervicales traitées efficacement avec des antalgiques sur une période de 15 à 20 jours.
Montant d’Indemnisation : Pour des souffrances endurées évaluées à 2/7, l’indemnisation moyenne se situe entre 2 000 et 3 000 euros. Les victimes ont le droit de contester une offre jugée insuffisante en communiquant directement avec l’assureur pour demander une réévaluation.
Discussion de l’Offre d’Indemnisation : Si la contestation porte sur le montant d’indemnisation proposé, les victimes peuvent négocier avec l’assureur. Cependant, si le désaccord concerne l’évaluation médicale elle-même, il est conseillé de procéder à une expertise contradictoire avec l’aide d’un médecin expert de victimes.
Procédure en Cas de Contestation : En cas de contestation du chiffrage médical, les victimes sont encouragées à solliciter une nouvelle évaluation médicale pour potentiellement obtenir une reclassification de leurs souffrances et, par conséquent, une indemnisation plus adéquate.
Combien vaut une indemnisation souffrances endurées 2/7 ou prétium doloris ?
Combien vaut l’indemnisation des souffrances endurées ou prétium doloris à 2/7 ? Un chiffrage à 2/7 des souffrances endurées correspond à des souffrances endurées dites « légères ». Même si vous pensez avoir souffert beaucoup et que le chiffrage de vos souffrances endurées ou prétium doloris est de 2/7 ne vous offusquez pas de ce qualificatif « léger ». Cela ne veut pas dire que vous avez souffert légèrement… C’est juste par comparaison au barème qui a mis cette dénomination aux souffrances endurées ou prétium doloris 2/7. Il est vrai qu’il est difficile de comparer les souffrances. D’autre part, il faut savoir que cette qualification à 2/7 des souffrances endurées ou prétium doloris ne concerne que la période du jour de l’accident au jour de la consolidation. Les souffrances futures sont prévues dans le taux d’AIPP. Voilà à quoi correspondent les souffrances endurées 2/7 ou prétium doloris : – Traumatisme cranio-cervical avec brève perte de connaissance. Suture d’une plaie du cuir chevelu. Hospitalisation de courte durée. Douleurs cervicales sans fracture, traitées par antalgiques, avec régression des symptômes en 15 à 20 jours.
La moyenne financière de ce poste souffrances endurées 2/7 ou prétium doloris se situe entre 2000 et 3000 euros environ. Si un assureur vous fait une offre que vous estimez insuffisante, vous avez parfaitement le droit de la discuter. Pour cela, il suffit d’écrire à l’assureur en disant que vous n’êtes pas d’accord et que vous demandez par exemple 2500 euros pour l’indemnisation de vos souffrances endurées 2/7.
Attention discussion de l’indemnisation souffrances endurées 2/7 ou prétium doloris
Retenir : Le prétium doloris chiffré à 2/7 correspond au terme "souffrances légères". Son indemnisation est de l'ordre de 2 à 4000 euros.
Questions de victime sur le prétium doloris à 2/7
- Comment puis-je formuler ma contestation auprès de l’assureur si je considère que l’offre d’indemnisation pour mes souffrances légères est insuffisante ? Quels documents ou preuves dois-je inclure ?
- Si mes symptômes ont persisté au-delà des 20 jours mentionnés pour les douleurs cervicales, est-il possible de demander une réévaluation de mes souffrances endurées pour refléter l’impact réel sur ma vie quotidienne ?
- Quelle est la procédure pour solliciter une expertise contradictoire avec un médecin expert de victimes et quel type de soutien puis-je attendre de ce professionnel dans la négociation de mon indemnisation ?
- Dans le cas où l’expertise contradictoire aboutit à une reclassification de mes souffrances à un niveau supérieur, comment cela affectera-t-il le montant de mon indemnisation et quelles démarches supplémentaires seront nécessaires ?
- Existe-t-il des recours ou des instances à contacter si je me sens insatisfait de la réponse de l’assureur, même après une expertise contradictoire concernant l’évaluation de mes souffrances endurées à 2/7 ?