Exemples questions Faute Médicale posées à l’Association
Qu’est-ce qu’une erreur médicale et en quoi consiste une faute médicale ? Remarque : avant toute chose, lorsqu’on pense qu’une faute médicale a eu lieu, il convient de récupérer le dossier médical. C’est en effet seulement sur la base de ces documents qu’il pourra être établi une faute médicale éventuelle. La personne la mieux située pour dire s’il y a une faute médicale ou non est le médecin expert de victimes.
Question de la victime sur la faute médicale erreur de diagnostic
Suite à une erreur de diagnostic, la rupture d’un tendon n’a pas été soignée à temps et j’ai maintenant un genou handicapé. Je voulais négocier à l’amiable avec l’Hôpital. Cependant, je me suis laissé entraîner dans des courriers et aujourd’hui, dans un entretien téléphonique avec un responsable de l’hôpital, j’apprends qu’il est possible que l’assureur me dédommage d’une simple obole ridicule. Je vous joins le premier courrier transmis au directeur de l’hôpital, pour vous aider à comprendre la situation. Je pense que je m’y suis mal pris. Avez-vous la possibilité de m’aider ?
Réponse AIVF
Vous pouvez déposer un dossier devant la CRCI de votre région afin de savoir vers quelle procédure vous orienter. Vous pouvez également soumettre votre dossier à un médecin expert dans le but de savoir s’il s’agit d’une erreur médicale, d’un aléa thérapeutique, etc. En effet, cette démarche-ci n’est pas nécessairement obligatoire – elle implique des frais – mais demeure indiquée lorsque l’on ne sait pas si l’on est en présence d’une faute médicale, d’un aléa thérapeutique ou peut-être même de l’absence de l’une et de l’autre.
Question sur l’erreur médicale
Ma femme a été opérée de la mâchoire à Paris pour un sourire gingival sur conseil du médecin de l’hôpital. Depuis cette opération, elle vit un calvaire : malocclusion dentaire (les dents d’en haut et d’en bas ne sont pas alignés, et elle a des difficultés à mastiquer), elle a par ailleurs des douleurs au niveau des articulations de la mâchoire (ATM) et un début d’arthrose de ces articulations. Que pouvons-nous faire ? Pensez-vous qu’il y a une erreur médicale ? Votre Association peut-elle intervenir quand il y a une indemnisation suite à une erreur médicale ? Fautes médicales qui existent ?
Réponse AIVF
Tout d’abord, récupérez le dossier médical de votre femme dans son intégralité. Pour cela, vous adressez un courrier à l’hôpital en demandant la copie complète du dossier médical tout en joignant la photocopie recto verso de la carte d’identité. Le plus simple est de déposer un dossier devant la CRCI (commission régionale de conciliation et d’indemnisation, aujourd’hui dénommé CCI) de votre région afin que cette commission rende un avis sur la situation de votre femme. Cette commission fera passer une expertise médicale à votre femme et indemnisera le préjudice de votre femme ensuite, suivant l’importance des séquelles. Il faut évidemment que la commission reconnaisse la faute médicale pour cela. Vous pouvez aussi joindre l’Association pendant les heures de permanence afin d’avoir directement son avis sur l’erreur médicale éventuelle.
Erreur médicale
Je me suis fait opérer d’une rupture totale du tendon d’Achille en octobre. Je me suis tout de suite rendu compte que je ressentais une douleur qui ne me semblait pas normale après le déplâtrage. J’ai été reçu en consultation environ une fois par mois pour le suivi postopératoire par les internes en chirurgie, à chaque fois, je leur faisais part de mon inquiétude sur ces douleurs qui s’intensifiaient de semaines en semaines, ma rééducation en kinésithérapie n’évoluait pas à cause de ses douleurs, j’ai un œdème massif depuis l’intervention qui n’est pas normal, j’ai fait une complication trombo-embolique, une phlébite, aucun des internes en chirurgie n’avaient pensé à vérifier à ce niveau-là. Je commençais à penser qu’il y avait une faute ou une erreur médicale. Après plus de cinq mois de douleurs intenses, de plus en plus invalidantes, insomniaques, j’arrive à avoir la prescription d’une échographie de ce tendon qui me fait souffrir quotidiennement, les résultats ne sont pas bons. Mon médecin inquiet de cette erreur médicale me demande de revoir le chirurgien en urgence, ce que je fais. Il semble y avoir effectivement des problèmes comme l’œdème persistant, les douleurs intenses, l’impotence fonctionnelle, la perte de poids, les insomnies….. Il ne parle pas ouvertement de faute médicale cependant, mais il me prescrit une IRM. Les résultats ne sont pas bons du tout, j’ai une large fissure infra-tendineuse profonde du tendon d’Achille, avec des complications (synovite, épanchement intra-articulaire, enthésopathie, névropathie…). Je présente maintenant une boiterie très importante, l’œdème est toujours persistant, les douleurs très invalidantes. Je pense que si j’avais été pris en considération dès le départ par l’équipe de chirurgie, je n’en serais pas là aujourd’hui. Ils ont fait une faute. Des personnes me disent que ça peut être aussi un aléa thérapeutique. Les conséquences sur ma vie personnelle et professionnelle sont très importantes. Que puis-je faire arriver à ce stade, je souhaite qu’il y ait une prise en considération de cette faute ou erreur médicale, surtout dans la non prise en compte des propos du patient. J’ai l’impression de ne pas avoir été entendu, limite, je faisais des « manières » et il fallait que je passe la vitesse supérieure au niveau de la rééducation (j’aurais bien voulu). Concrètement, je pense, avec les résultats des différents examens et l’avis d’un chirurgien dans un autre hôpital me confirme, que l’intervention a été mal réalisée dès le départ avec une mauvaise suture du tendon d’Achille et de ce fait qui a engendré des complications. Qu’en pensez-vous ?
Question de la victime sur la faute médicale et décès
Mon père est décédé brutalement dimanche 1ᵉʳ juin aux urgences de l’hôpital. Mon père âgé de 80 ans, il a appris après une coloscopie, qu’il avait une tumeur cancéreuse au niveau anneau rectal (carcinome). Je l’ai accompagné au rdv qu’il a eu avec le cancérologue. On lui explique ce que les examens ont détecté, à savoir des cellules cancéreuses anorectales, un carcinome. Le docteur prescrit un protocole de soins. Deuxième semaine traitement : que de la radiothérapie, la fatigue est de + en + grande, il a des aphtes plein la bouche, n’arrive plus à se nourrir correctement. Il continue ses rayons le jeudi et le vendredi. Il va de + en + mal. L’infirmière nous alerte sur le fait qu’il ne lui semble pas normal que mon père n’ait aucune ordonnance d’antidouleurs, il souffrait terriblement. Le samedi, j’appelle SOS médecin, qui arrivera vite, il lui prescrit du Ioxprim, qu’il prend immédiatement. Ça le soulage un peu, il s’endort. Le lendemain matin, le dimanche 1ᵉʳ juin, il ne va pas mieux, voire pire. J’appelle le Samu vers 10 h 30, une ambulance est là vers 11 h 20, il “désature en oxygène”, on lui pose un masque à oxygène relié à une bonbonne de 9 litres. Il est transporté vers les urgences, arrive vers 12h, en compagnie de ma sœur et de moi-même. Je ne comprends rien, il m’explique que les résultats sanguins de mon père sont catastrophiques, il n’a plus aucun globules blancs, zéro, et pratiquement plus de plaquettes. Le médecin me dit :“ce monsieur est en train de partir, qui êtes-vous pour lui ?”, sa fille ! Je me précipite au chevet de mon père qui décédera quelques minutes plus tard. Il est 22 h 45. Je suis effondrée, choquée. On nous explique qu’il a fait un choc septique dû à une réaction violente à la chimiothérapie, que cela était imprévisible. Aujourd’hui, je ne me satisfais de ses explications, j’ai besoin d’aide, pour comprendre exactement ce qui s’est passé. Est ce normal ? Y a-t-il eu manque de surveillance, de vigilance ? Y a-t-il eu une faute médicale ? Dans quelle mesure tout ce ceci était-il prévisible ? Qui est responsable s’il y a eu une faute médicale. Que peut faire l’Association pour m’aider ?
Réponse AIVF
Dans un premier temps, il faudrait que vous récupériez son dossier médical en faisant une demande écrite auprès des établissements de santé où il a été soigné, en y joignant une photocopie recto verso de sa pièce d’identité. Il s’agit là de la première étape dans l’éventuelle démarche en vue d’une indemnisation des ayants droits. Mais, c’est aussi un moyen de connaître les circonstances de l’événement qui vous bouleverse, au-delà de la possible erreur médicale ou aléa thérapeutique. Une fois le dossier médical récupéré, vous pourrez nous appeler pendant les heures de permanences. Nous vous expliquerons alors comment procéder par la suite et sans doute nous vous conseillerons peut-être de demander l’avis d’un médecin expert – médecin diplômé en réparation du préjudice corporel.
Question erreur médicale
Suite à une opération de la glande parotide à Creusot en Saône-et-Loire, je me retrouve avec une paralysie faciale droite, le nerf facial ayant cédé lors de l’opération. Dois-je faire des démarches auprès d’organisme comme la CRCI de ma région ? que me conseillez-vous ? Y a-t-il une erreur médicale ? Comment faire pour obtenir une indemnisation suite à une erreur médicale. Votre Association peut-elle m’aider ? J’ai déjà adressé un courrier à l’Hôpital et je vous joins la réponse. Ils me répondent que je dois apprécier « la procédure » que je souhaite engager, et c’est bien cela qui me soulève une question, je pense que s’il n’y a certainement pas erreur médicale (le lipome graisseux ayant été à la source de l’opération et enlevé dans la région de la glande parotidienne était important (7 CM sur 11 CM), je pense que la définition d’aléa médical est appropriée. D’après vous et après avoir pris connaissance de la réponse de l’Hôpital, dois-je faire une demande auprès de la CCI pour que celle-ci juge si le seuil de gravité est assez important pour se déclarer compétente et estimer ainsi la faute médicale ?
Retenir : Pour qu'il y ait erreur médicale, il faut que les régles de l'art de la médecine n'aient pas été respectées.
Question de Victime erreur médicale : Accident vasculaire cérébral, AVC, erreur de diagnostic
J’ai été Victime d’une erreur médicale. Je me pose des questions sur l’Accident vasculaire cérébral AVC, erreur de diagnostic. J’ai un souci avec le médecin traitant, j’ai fait un AVC, il avait prescrit un produit pour la migraine… Le mardi soir, j’avais des maux de tête brutaux, un œil qui me faisait souffrir et un mal de temps. Comme il était déjà tard, j’ai pris un médicament, puis je suis allée me coucher. Le lendemain, je ne me sentais pas mieux. En me levant, j’ai eu la jambe qui a lâché à trois reprises. En regardant sur le net, j’ai eu l’impression que c’était un signe précurseur de l’AVC. Vu que j’ai 40 ans, je me suis dit que ça faisait jeune… J’ai été chez mon médecin traitant. Je lui ai dit tout ce que j’avais senti, avec l’impression que c’était un AVC. Il m’a dit que j’avais une tension basse (avec 8), taticarde. Il m’a dit que les réflexes autour du genou était bon… Il m’a donné les aspirines… J’ai fait ce que j’avais à faire : récupérer les enfants dans un cours ou d’autres… C’est en revenant chez moi que j’ai été prise d’un accident vasculaire cérébral. Le pompier est venu me chercher et m’ont emmené. Il a fallu que l’on me mette un sten, qui avait fait une hémorragie… Je n’ai pas parlé pendant quatre semaines. Je suis éducatrice spécialisée….., alors sans ça, je ne peux plus faire mon métier… Je travaille avec un ortho, mais ça peut être long pour que je récupère au mieux, un minimum pour me faire comprendre… Je voudrais faire une procédure d’erreur de diagnostic contre le médecin. Pourriez-vous me conseiller ?
Remarques de l’Association sur une victime d’une erreur médicale : Accident vasculaire cérébral, AVC, erreur de diagnostic
Vous avez été victime d’une erreur médicale et vous vous posez des questions sur Accident vasculaire cérébral, AVC, erreur de diagnostic. C’est la loi Kouchner qui prévoit l’indemnisation. Nous vous invitons à prendre connaissance de la rubrique erreur médicale ainsi que de la rubrique erreur diagnostic. Sinon, d’une manière générale, pour bien vous défendre, nous vous invitions à lire attentivement les rubriques :
– Les postes de préjudices
– Le rôle du médecin expert
Si vous avez besoin de vous faire défendre, nous vous invitons pour le médecin expert de consulter la liste des médecins experts et pour l’avocat à nous en faire la demande par email. Si vous souhaitez davantage de renseignements, laissez-nous vos coordonnées téléphoniques pour que nous puissions parler de votre accident médical sur l’Accident vasculaire cérébral AVC, erreur de diagnostic.
Erreur diagnostic
Mon souci est que récemment, j’ai fait une IRM pour contrôler ma rémission de cancer. Le médecin IRM n’a détecté aucune anomalie. Mon rdv avec mon médecin pour mon suivi est prévu une fois par an. Aucune inquiétude, car l’IRM ne montre aucune anomalie. Cependant, je lui parle de ma fatigue. Que je n’arrive pas à me rebooster et souvent prise de contraction. Est-ce normal ? Dans le cas où ont demandé une relecture de l’IRM à un autre médecin IRM, qui lui détecte une anomalie. Donc, mon médecin demande une biopsie par scanner qui confirme la récidive du cancer. Ma question : puis-je poursuivre le médecin IRM qui a fait cette erreur. . Car je trouve ça grave. Que serait-il passé si l’on n’avait pas demandé une relecture IRM ? Sachant mes contrôles sont une fois part ans. Cela fait vraiment peur une telle erreur de diagnostic !
Exemple de question posée à l’ Association
Je souhaiterais un renseignement auprès de votre association en erreur médicale sur la procédure à suivre suite à une opération de mon coude droit – cubital – (bras fort) dans une clinique dans le Nord. À l’issue de l’opération, il appert que je n’ai plus aucune sensation au niveau de mon petit doigt et de l’annulaire. Également je ne peux plus écarter mon index et mon majeur et une perte de puissance dans la main. J’ai tout de suite pensé à une faute médicale. Je précise qu’avant l’opération l’EMG fait par le neurologue n’a montré aucun problème au bras droit, hormis un engourdissement de ses 2 doigts occasionnellement. Je suis fonctionnaire de police et depuis mon opération, je n’ai pas pu reprendre mon travail car ne pouvant tenir mon arme de ma main droite. Cela fait déjà presque 4 mois. Après mon opération j’ai fait 3 nouveaux EMG qui montrent un déficit presque total de ma main jusqu’à sous l’aisselle. Le neurologue estime qu’il y a sûrement eu une erreur de l’anesthésiste lors de l’anesthésie locale (sous aisselle bras droit) car avant l’opération, il n’y avait aucun problème sur l’EMG. L’IRM montre que le nerf cubital est sorti de sa gaine et se cicatrise dans la chair du coude, il apparaît aussi un léger rétrécissement du nerf sorti de la gaine. Je suis donc allée à SOS mains, le chirurgien va me réopérer pour libérer le nerf de la chair et le remettre dans sa gaine. Malgré que j’ai préparé un dossier complet à l’encontre du chirurgien et de l’anesthésiste pour par la suite entamer une procédure pour faute médicale après l’opération faite par SOS mains, je me demandais s’il fallait que je fasse voir mon bras et ma main à un médecin expert ou un autre spécialiste pour qu’il constate par écrit, le déficit que j’ai perdu sur l’usage de ma main, de la puissance… avant que je me fasse réopérer le 25 avril ? Sachant que le neurologue m’a clairement dit qu’il a peu de chance que je récupère une totale mobilité et motricité de ma main, ce qui entraînerait un gros souci concernant mon travail…
Erreur de diagnostic
J’ ai 27 ans et je suis confrontée à une erreur médicale erreur de diagnostic de mon médecin traitant. Il me fait passer un scanner disant que j’ ai une lyse osseuse de passer Irm et scintigraphie osseuse il n’a pas voulu en me disant que c’était musculaire. En janvier les douleurs sont devenus insoutenables et il a toujours pas voulu me faire passer Irm mais une radio montrant une tumeur osseuse. Passant par biopsie ce qui a avéré un kyste anevrysmal sur la cervicale. L ‘operation est devenu compliquée car ca a grossi donc je dois subir en août 2 opérations qui sont pas sans risques motrices ou neurologiques . Je voudrai connaitre mes recours possibles pour le préjudice morale et physique que ca m’ engendre et également le faire banir de l’ordre des médecins.
Erreur medicale
Opérée le 9 juin pour un kyste à la main droite, qui s’est avéré inexistant au bloc juste le constat fait clairement par le chirurgien d’un tendon déformé suite à ma chute avec fracture en décembre. Il n’y a pas eu de prescription d’IRM ou d’échographie avant l’opération pour vérifier l’existence de ce kyste mais le diagnostic s’est fait avec une palpation de ma main du chirurgien lors d’une visite médicale. Les conséquences de post opératoire ce sont mon nerf cubital qui ne fonctionne plus et ma main droite est handicapée. Un arrêt de travail jusqu’au 31 août et le chirurgien me dit que cela prendra du temps avant que je récupère les fonctions motrices de ma main. Quels sont mes recours et la possibilité d’une reconnaissance de ce préjudice corporel et moral de cette erreur de diagnostic ?
Erreur Médicale
Mon époux suite à un accident de travail, n’a pas été pris en charge correctement au niveau médical au moment ou il a été conduit aux urgences, les médecins n’ayant pas souhaité pratiquer une échographie au prétexte, qu’aux urgences il ne font pas d’échographie. Il c’est avéré par la suite qu’il ne c’était pas fait un claquage comme le pensait les médecin, mais avait bien un arrachement du tendons. Ce type de blessure si non prise à temps, entraîne avec le temps une perte de force au niveau du bras et des douleurs. Aujourd’hui pratiquement un an après, mon mari qui par ailleurs exerce un travail de force (carrossier peintre) est sous restriction à son travail en ce qui concerne le port de charge pas plus de 5 kilos et souffre de douleurs à chaque fin de journée. Même avec les séances de kiné cela ne s’arrange pas et celui-ci souffre d’épicondylite. Nous souhaitons entamer une procédure contre l’hôpital pour la reconnaissance des dommages subis suite à une erreur de diagnostique et demander réparation. Nous avons dans un premier temps, pris l’attache d’un avocat spécialisé dans les erreurs médicales pour savoir comment les choses se déroulent dans ce type de procédure. J’ai pu lire sur votre site qu’il est important de choisir les bonnes personnes pour assurer sa défense et que chacun a un rôle à jouer. J’ai pu lire qu’il peut être intéressant notamment de prendre l’attache d’un expert d’assuré pour l’évaluation du montant du préjudice. Pouvez-vous nous éclairer dans cette démarche ? Dans quel ordre faut-il procéder ? Sachant que pour l’heure, à part avoir pris contact avec un avocat pour avoir de plus amples informations, aucunes autres formalités n’ont été faites.